Anthony Cheylan, ouvre moi ton sac!

[author image=”http://profile.ak.fbcdn.net/hprofile-ak-ash4/c49.49.608.608/s160x160/386982_10151150429158366_1090484040_n.jpg” ]Après avoir été chef de produit chez Sony Electronics (notamment les accessoires VAIO et Clié, les lecteurs MP3 à disque dur, la hi-fi et le Home Cinéma), je me suis occupé du marketing de rappeurs français dans le label indépendant Because Music, et je travaille désormais chez Canon France, où je m’occupe de la pub, des opérations spéciales et de la stratégie digitale. Je fais aussi du consulting pour des marques et des boites de production. Et on s’est rencontré à la belle époque de PDAFrance, des conventions PDA et des échanges de cartes de visite par infrarouge. :)[/author]

J’ai constamment un sac à dos sur moi – d’ailleurs c’est un peu un problème, je commence à me faire vieux mais j’ai toujours l’air d’être un stagiaire. Depuis quelques années j’ai ce sac à dos Nike SB, il est solide, confortable, pratique. J’aime bien.

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A l’intérieur j’ai un iPhone 5 – j’étais pro-Blackberry jusqu’à l’an dernier, et depuis que je suis passé sous iOS j’ai l’impression d’être un enfant qui a grandi enchaîné dans une cave et qui découvre le monde moderne. Le seul truc pour lequel je suis pas dépaysé, c’est que l’autonomie est pourrie : je recharge mon téléphone 2 fois par jour, c’est pour ça que j’ai aussi un chargeur sur moi.

Dans mon sac, il y a un PC HP Beats Envy noir mat dont j’ignore complètement les specs, je sais juste qu’il a un clavier qui s’allume en rouge, un détecteur d’empreintes digitales et de bonnes enceintes. Team Bon Goût. D’un point de vue business, je suis d’ailleurs assez fasciné par la marque Beats ; je trouve que c’est un cas d’école magnifique, ça allie l’entertainment, le hi-tech et le marketing, c’est globalement les trois sujets qui me passionnent le plus (au passage, je conseille cet article de Gizmodo : http://gizmodo.com/5981823/beat-by-dre-the-inside-story-of-how-monster-lost-the-world ).

Les produits Beats sont souvent décevants mais j’ai eu des Beats Tour, des Diddy Beats (sur la photo), j’ai offert des Beats Lady GaGa à ma meuf, on m’a offert leur enceinte bluetooth Beats Pill et je surveille toujours ce qu’ils font en produits et en communication… J’arrive pas à résister à une marque qui a un marketing malin.

J’ai aussi une tablette HP TouchPad – qui, pour le coup, n’était pas du tout du marketing malin. J’étais perplexe sur les tablettes jusqu’à ce que ma vie trouve un nouveau sens grâce aux apps de lecture de BD et au surf sur WikiPédia dans mon lit. Deux excellentes raisons pour être encore moins sociable qu’auparavant <3 Je la trimballe dans une housse Pierre Hardy.

J’ai honte mais le dernier appareil que j’ai en permanence sur moi, c’est une Nintendo 3DS. Je suis obsédé par le Street Pass, je planifie mes vacances en fonction des lieux non visités sur ma carte, je vais à des conventions juste pour ramasser du Mii et le jeu auquel j’ai le plus joué c’est « Mii en Péril II » alors que, dans le fond, je DETESTE ce jeu.

J’ai une pochette Crooks & Castles dans laquelle je range ma 3DS avec des jeux et des accessoires. L’autre problème de cette console, hormis son catalogue restreint, c’est que tu te retrouves vite à avoir des discussions passionnées avec les autres utilisateurs que tu croises dans les transports. Et qu’il s’agit généralement de gamins de 12 ans.

Pour survivre dans Paris, je trimballe aussi un parapluie, un passe Navigo Découverte, un plan papier de la ville, un stylo ramassé à une convention de Facebook, des chewing-gums, un portefeuille Balenciaga et une clé USB 16 Go codée qui contient un descriptif de tous les futurs produits de Canon. Non je déconne.

Mon porte-clés est un necklace du label américain Tommy Boy, c’était un passe pour un concert de De La Soul à New York en 2000.

Sur la suggestion de ma meuf, qui après lecture de cet article a trouvé que le contenu de mon sac était « boooooooring » et « tellement, TELLEMENT personal branling », j’ajoute deux accessoires que, adolescent, je mettais toujours dans mon sac lorsque je sortais le soir : un poing américain et un préservatif car, comme on le répétait dans ma bande de potes de l’époque, « en bien ou en mal, on sait jamais comment la soirée peut finir, tu vois. »

Pardon.

Et merci à Nghia, c’était marrant.

Geek dans l'âme, j'ai attrapé le virus de ces machines nomades depuis mon premier Palm V en 1998 et je cherche encore la cure.... Quand j'arrive à m'échapper de la Matrice, j'adore voyager, faire la cuisine et m'enfermer dans le 7ème Art. Je sévis aussi sur w3sh,com, un blog lifestyle de divertissement.

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