Fred Botton, ouvre moi ton sac!

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[author image=”http://1.gravatar.com/avatar/5487478a43ff5a6dd3f6b81da783be2e?s=80&d=http%3A%2F%2F1.gravatar.com%2Favatar%2Fad516503a11cd5ca435acc9bb6523536%3Fs%3D80&r=G” ]Fred est le co-fondateur de B&K Presse et le fondateur de ParisAvant.com, un site qui vous fait découvrir Paris par des clichés pris il y a une centaine d’années, confrontés à des photos récentes.[/author]

Le sac que j’utilise au quotidien est volontairement petit, plein de popoches partout. Joli mais plus pratique que stylish… C’est un Eastpak acheté dans une boutique spécialisée à deux pas de la place de la République à Paris. Il convient pour des trajets en scooter, pour des expéditions en métro. Mais il peine à accueillir un ordinateur portable, aussi léger et compact soit-il… Son petit plus : les brides qui bloquent l’accès aux zip des poches. Une protection, légère certes, mais opérationnelle contre les brigands du métro qui ont besoin d’agir vite pour être efficaces…

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Mon téléphone est parfois dans le sac (en scooter), parfois dans ma poche (en métro). C’est un iPhone 5. Je ne l’échangerais contre aucun smartphone Android ou autre Windows Phone, jamais. J’en suis certain, et ce pour au moins les, voyons, 3 mois à venir ! Je trimbale ma tablette, un nouvel iPad (pas le nouveau nouvel iPad). D’abord parce qu’il a définitivement remplacé un ordi portable. Ensuite parce c’est mon outil de travail. Il a droit à sa puce Joe Mobile pour être autonome, sans courir après les McDo, les accès Freewifi et les parcs parisiens. Cet iPad, je ne l’échangerais contre aucune tablette Android ou autre Surface, jamais. J’en suis certain, et ce pour au moins les, disons, 4 mois à venir !

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Les smartphones et les tablettes ont cette fâcheuse tendance à être vidés de leur batterie pile poil au moment où on en a le plus besoin. C’est la raison pour laquelle je trimbale ma mini centrale nucléaire qui repose sur un bloc de recharge de 7800 mAh de PNY, parfait pour redonner du tonus à un iPad. Et un autre de capacité plus raisonnable mais doté d’un panneau solaire. Sa batterie est efficace, mais son panneau solaire ne sert à rien : Paris manque de soleil. A ces deux engins assez lourds s’ajoutent des câbles iOS classique, Lightning (une copie chinoise plus ou moins réussie), et USB. Plus un adaptateur pour lire des cartes mémoire SD sur iPad. Et un support d’iPhone de SKPad. Tellement simple et efficace que je ne pourrais plus m’en passer !

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Pour la vie de tous les jours, j’ai un portefeuille très classique en cuir, un porte cartes de visite parce que tout le monde n’est pas encore passé aux csv, des clés en tous genres, un bipeur de parking, une paire de lunettes parce que je me fais vieux. Et deux éthylotests. Non pas que je doute de ma capacité à rouler après un dîner, mais simplement pour contenter la gendarmerie… Manque sur la photo une carte Navigo qui ne m’est d’aucune utilité en métro puisque j’utilise des tickets. En revanche, elle est mon Sésame pour enfourcher un Vélib’. Born to be wild…

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Je ne suis pas encore passé au tout-papier. Pour preuve le carnet de notes 1.0 qui me sert tous les jours, et que je remplace tous les deux mois parce que je ne peux pas le réinitialiser. Old school, donc. Mes stylets ont des pointes à bille, et j’écris… pour moi. Même Champollion serait à la peine pour me déchiffrer. Ne parlons même pas d’un logiciel de reconnaissance de l’écriture. J’ai aussi une petite boîte de médicaments homéopathiques (je ne suis pas consommateur, et je n’ai pas idée de l’endroit où j’ai pu la dénicher) qui renferme quelques Go sur des mémoires SD et MicroSD. Plus une trousse de mini-tournevis. Parce que.

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La petite poche de devant sur mon sac à dos, c’est la trousse à pharmacie. On n’y trouve pas grand-chose. Des cachets pour le mal de tête : je les ai donc je n’ai pas mal à la tête. Un tube de Ventoline : je l’ai donc je respire bien et je n’en ai pas besoin. Des mouchoirs en papier. Sait-on jamais.

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Cette petite boîte noire et le joystick m’accompagnent presque tout le temps. Il s’agit du X4 de Hubsan, un micro quadricoptère ultra léger – mais puissant, avec sa radiocommande 2,4 GHz, quelques batteries et un chargeur USB. Un jouet ? Pas tout à fait, il vaut mieux éviter de mettre les doigts sur les hélices quand elles tournent… Quand j’ai un peu de temps et d’espace, je fais quelques vols qui m’aident à garder la main. C’est important, parce que pour piloter des engins plus imposants bardés de caméras et d’électronique, je ne peux pas m’amuser à pratiquer un pilotage approximatif. Cette passion chronophage et coûteuse pour les machins volants, c’est à voir sur http://helicomicro.com

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Geek dans l'âme, j'ai attrapé le virus de ces machines nomades depuis mon premier Palm V en 1998 et je cherche encore la cure.... Quand j'arrive à m'échapper de la Matrice, j'adore voyager, faire la cuisine et m'enfermer dans le 7ème Art. Je sévis aussi sur w3sh,com, un blog lifestyle de divertissement.

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